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Murmures ...
Songe : J'ai mis quelques petits choses dans les brouillons et un peu de musique dans ls deux colonnes :)
Venaline : Merci beaucoup j'adore il est trois fois mieux qu'avant.Je suis trop contente
Songe : Ca me fait plaisir ton enthousiasme :D
Venaline : chui pas beaucoup visité a ce que je vois encore moins que mon précedent joueb
vador : merci pour le commentaire sur ma fille, tu as un très jolie blog! big bisous
Sylvano : En effet, joueb très joli @ bientôt Venaline !
passionnee-par-les-reves : effectivement, c'est très accueillant ;)
leat : Devine quoi... je suis de retourrrrrrr bisouuu


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Histoire
--> partie 2

_Tiens !!!Une nouvelle venu, dit –il. On m’a informé de vos intentions d’hier soir. Vous vous apprêtiez à voler une de mes poules ?

            _Une de vos poules ? Vous vous moquer de moi ? N’est ce pas vous qui prenez toutes celle de vos villageois ? Je me suis aperçut il y a quelques jours de la disparition de la totalité des miennes. N’avez-vous pas fait une petite escapade au-delà de vos mûrs ? En plus d’essayer de nourrir ma pauvre famille je ne faisais que reprendre ce qui m’appartient ! Ne vous rendez vous pas compte ? Vous affamez les habitants de cette ville !

            _Subtile, très subtil… et surtout très sournois, vous êtes en train de vous enfoncer dans votre propre galère mon cher ami… Comment oser vous me répondre comme cela et ho !... Comment osez-vous même m’adresser la parole ?

            _Vous m’avez tout simplement posé une question je n’ai fais que y répondre.

            _Seriez-vous en train de me défier ? Répliqua le shérif sur un ton de défi. Il reprit ensuite le plus aimablement possible en ayant prit soin de laisser quelques secondes de réflexion au pauvre homme.

            _Vous m’avez parlé tout a l’heure de votre famille… Parlez-moi donc d’eux !

            _Que voulez-vous faire ?

            _Moi ? Rien du tout ! J’aime beaucoup connaître la vie de mes prisonniers… J’espère que vos chaînes sont suffisamment serrées !

            _Je ne vous dirais rien du tout, vous êtes minable !

            _Votre silence ne vous mènera nulle part… Je sais très exactement que vous habitez la seule et unique maison de la clairière du Touquet. Il ne me sera donc pas très difficile de retrouver votre précieuse famille…

            _Qu’allez-vous donc faire ?

            _Moi ? Rien personnellement, je vais tout simplement ordonner a mes hommes de leurs rendre une petite visite de courtoisie, et leur préciser gentiment que leur misérable sort sera entièrement de votre faute… Hé oui, c’est ça qui arrive lorsqu’on se moque suffisamment longtemps de ma noble personne… la mort !

            _La mort ? Vous n’avez pas le droit ! Misérable !

            _Sachez mon cher ami que j’ai tous les droits, au cas où vous l’auriez oublié, je suis sans aucun doute le shérif de cette ville, elle m’appartient, il se trouve donc que j’ai tous les droits !

            _NON ? NON ! Arrêtez, je ferais tout ce que vous voudrez, je vous en supplie arrêtez !

Le forgeron hurlait a présent, et des grosses larmes chaudes glissaient le long des joues rougir par le chagrin.

            _Faites-vous donc la différence entre une poule et deux vies humaines ? Reprit-il en voyant le shérif quitter le cachot en essayant vainement d’emprunter les escaliers de pierres d’une façon correcte, car le fait qu’il est abusé de sa fiole d’alcool avant de venir l’avait rendu complètement sous. Le forgeron avait beau l’insulter, hurler, se débattre et pleurer, l’infâme ne se retourna pas. Il riait en essayant de couvrir les hurlements de l’homme. Lorsqu’il eu atteint le sommet des marches, il questionna un de ses hommes de main qui se trouvait a proximité de lui et lui demanda lequel de ses châtiments seraient le plus cruel :

            _Dit moi mon jeune ami… D’après vous… Faut-il le laisser là, ignorer le sort de sa stupide famille, ou alors l’emmener avec nous admirer le prix de ses fautes ? Vas-tu te taire ? Dit-il subitement au forgeron en se retournant d’un coup sec en vacillent quelque peu sur ses jambe imbibées d’alcool. Alors ? Reprit-il. Ses chers  joyaux étendus de tout leur long et égorgé en plein milieu de leur verte prairie ?

Ecrit par Venaline, le Samedi 29 Juillet 2006, 18:33 dans la rubrique "Actualités".


Commentaires :

  jérémie
29-07-06
à 18:53

Je suis vraiment content que ce texte me soit dédicassé.Encore merci.Je ne vous tiendrait pas rigueur de la faute d'ortographe parce qu'on s'en fiche.Le shérif me fait penser à Lyseen.Et cela c'est pa trop un compliment parce que le shérif il n'est pas gentil il est même (n'ayons pas peur des mots) méchants.Mais rassurez -vous Lyseen je vous aime bien quand même.Quant à vous Venaline vous me faite penser au forgeron(c'est un compliment) parce que vous avez toujours aimé reprendre des poules( Ceci n'est bien sûr que le fruit de mon imagination).Voila pour mon point de vue(qui est, soit dit en passant secondaire et encore...) .Encore des encouragementspour la suite.

Je vous envoie mesdames mes salutations les plus distinguées.