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Murmures ...
Songe : J'ai mis quelques petits choses dans les brouillons et un peu de musique dans ls deux colonnes :)
Venaline : Merci beaucoup j'adore il est trois fois mieux qu'avant.Je suis trop contente Songe : Ca me fait plaisir ton enthousiasme :D Venaline : chui pas beaucoup visité a ce que je vois encore moins que mon précedent joueb vador : merci pour le commentaire sur ma fille, tu as un très jolie blog! big bisous Sylvano : En effet, joueb très joli @ bientôt Venaline ! passionnee-par-les-reves : effectivement, c'est très accueillant ;) leat : Devine quoi... je suis de retourrrrrrr bisouuu
Clairières voisines
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Histoire
--> partie 4
Elle se précipita vers lui mais fut arrêtée par deux gardes qui s’interposèrent. La jeune fille esquissa un geste pour s’emparer de son épée, mais son père l’en dissuada d’un signe de tête. Elle se détourna alors avec une rage non dissimulée et revint aux côtés de sa mère. Le shérif descendit de sa monture, affichant un sourire sadique. Il s’approcha d’Adèle la mère d’Amine, et s’obligea a lui faire une révérence, bien que cela lui soit difficile car le rhum en grande quantité lui donnait une démarche malhabile. _Cher madame, je vous ramène votre mari… Toi, là bas ! Dit-il en désignant un garde. Amène moi le prisonnier ! L’homme s’exécuta sur le champ et me mari fut rendu a sa femme. _Que t’on t’ils fait ? Dit-elle en essuyant le sang sur son visage avec la manche mitée de sa robe. Le shérif prit la question pour lui et répondu plus vite et plus fort que le forgeron. _Rien de bien méchant ! Juste quelques coups de fouet de chaîne, et aussi de bâton… Il s’en remettra vite, ajouta-t-il en ricanant. _Vous êtes un monstre ! _Moi ? Vous vous trompez sûrement de personne. C’est cet homme le brigand, moi je suis la bonté même, répondit-il en pointant son index sur la poitrine ensanglantée du forgeron. Vous méritez tous une bonne punition ! Le shérif ponctua ces quelque mots d’un rire interminable et reprit bruyamment sa respiration. Avec une haine indescriptible, il dit sans prendre la peine de détacher les syllabes : Laissez-moi réfléchir… _Ne croyez-vous pas que mon père ait été suffisamment puni comme cela ? N’est-il pas humilié, faible et complètement sans défenses a présent ? _Cela ne me suffit pas ! Vous devez tous payer ! Il se frotta les mains d’un air malicieux et ponctua chacune de ses phrase avec des ricanements incessants. _Vous êtes complètement saoul ! Vous ne vous rendez même plus compte de ce que vous dites ! Réplique Adèle. Vous êtes imbibé d’alcool grossier personnage. Dans sa tête le forgeron savait que cette façon de parler au shérif de ne leur apporterai que des ennuis mais la force ne lui vint pas pour conseiller a se femme de le laisser parler sans rien dire. _Rentrons, ajouta-elle a l’adresse d’Amine, qui soutenait son père. Ecrit par Venaline, le Samedi 23 Septembre 2006, 20:13 dans la rubrique "Actualités".
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