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Enya - Drifting

Murmures ...
Songe : J'ai mis quelques petits choses dans les brouillons et un peu de musique dans ls deux colonnes :)
Venaline : Merci beaucoup j'adore il est trois fois mieux qu'avant.Je suis trop contente
Songe : Ca me fait plaisir ton enthousiasme :D
Venaline : chui pas beaucoup visité a ce que je vois encore moins que mon précedent joueb
vador : merci pour le commentaire sur ma fille, tu as un très jolie blog! big bisous
Sylvano : En effet, joueb très joli @ bientôt Venaline !
passionnee-par-les-reves : effectivement, c'est très accueillant ;)
leat : Devine quoi... je suis de retourrrrrrr bisouuu


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Vendredi (23/02/07)
Histoire
--> Partie 5

Elle mit l’autre bras de son mari autour de son coup pour l’aider à se déplacer, mais au premier pas, ils furent interrompus par les rires aux éclats de toute la horde qui accompagnait le shérif.

            _Où allez-vous donc comme ça ? Vous ne pensiez tout de même pas vous en tirer aussi facilement ? J’apprécie énormément votre compagnie… Malheureusement votre manque d’obéissance me pousse a m’en débarrasser.

            _Que voulez-vous dire ?

            _Je veux simplement dire que ce soir, vous avez admirés votre tout dernier couché de soleil… J’espère que vous en avez bien profité ! Ah ah ah ah ah !...

Sur un geste furtif du shérif, tous ses hommes se regroupèrent et commencèrent à avancer en direction du forgeron et de sa famille. Amine eu à peine le temps de tendre la main pour se saisir de son arme que cinq ou six d’entre eux se glissèrent déjà derrière eux et leur ligotaient les poignets. Une fois qu’ils furent maîtrisés, et solidement entravés, le shérif ordonna à ses hommes de les enfermer dans la maison.

_Ho, attendez une petite seconde… Amenez-moi la fille ! Non, pas la vielle, l’autre ! Il serait dommage d’abîmer un si beau spécimen, ajouta-t-il d’un air gourmand. Ce soir mes amis, hurla-t-il à la cantonade, nous allons profiter de la faiblesse d’une jeune femelle !

            _Vous n’avez pas le droit ! S’écrièrent ses parents. Amine ! NON !

            _ Maman ! Papa ! Hurlait-elle en se débattant. Lâchez-moi ! Lança-t-elle désespérément, alors qu’elle voyait ses parents disparaître dans l’encadrement de la porte. Amine savait très exactement ce qui allait leurs arriver, les pratique monstrueuses du shérif étaient connu partout. A bout de forces, elle s’effondra en pleurant toutes les larmes de son corps.

            _C’est triste ! S’exclama le shérif sans cœur. J’en pleurerais presque !

Ecrit par Venaline, à 13:27 dans la rubrique "Actualités".
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Samedi (14/10/06)
Pour toi
--> Mais qui es tu?

Tu te souviens ?

 

Oui forcément tu te souviens…

Si j’avais pensé qu’un jour tu ferais ton grand retour dans ma vie…Je n’aurais pas fait la moitié des choses que j’ai faite depuis ton départ. Je me suis encore une fois égarée tout au fond du bleu mélancolique de tes yeux. Ils n’ont pas changés, peut être même sont-ils plus profond que la dernière fois.

Tu te souviens ?

Sans le savoir, tu feras du mal à certaines personnes, mais ton air innocent le restera puisqu’au fond tu ne le sauras pas. Mais moi je le saurais et je le verrais. Tous les jours je verrais la tristesse qui envahira les regards, ceux la même qui me regarderons en me demandant pourquoi…Quelques fois je rêve de ne jamais t’avoir rencontré, et ceux-ci se transforment bien vite en véritable cauchemars, je réalise alors que si tu n’avais pas été là, je ne le serais pas moi non plus. Jamais je ne te l’ai véritablement avoué, et crois moi je le regrette, c’est peut être, et même sûrement la plus grande erreur que j’ai faite dans mon début de vie, et dorénavant je sais au fond de moi que te dire la vérité m’ai complètement impossible, c’est trop tard a présent. Alors en secret je vais rêver, imaginer, m’enfoncer dans ce rêve, ce rêve que j’aimerais ne jamais voir se terminer.

Tu te souviens ? Bien sûr que tu te souviens…mais même si ces fragments de souvenir viendraient à réapparaître dans tes pensées, sache sans le savoir que jamais ses images ne se réaliserons, c’est une véritable fiction…C’est peut être ce que tu espère depuis le début alors si proche et en même temps si loin de ton cœur, l’espoir est toujours là…Le même espoir qui été dans mon cœur lorsque j’ai écris ces quelque lignes, ceux là même que tu n’a jamais lu, ceux là aussi qui sont a jamais perdu au fond de mes pensées, que j’ai moi-même malgré moi, définitivement oubliées.

 

Tu te souviens ? Non peut être que tu ne te souviens pas…

Ecrit par Venaline, à 16:09 dans la rubrique "Actualités".
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Samedi (23/09/06)
Histoire
--> partie 4

Elle se précipita vers lui mais fut arrêtée par deux gardes qui s’interposèrent. La jeune fille esquissa un geste pour s’emparer de son épée, mais son père l’en dissuada d’un signe de tête. Elle se détourna alors avec une rage non dissimulée et revint aux côtés de sa mère. Le shérif descendit de sa monture, affichant un sourire sadique. Il s’approcha d’Adèle la mère d’Amine, et s’obligea a lui faire une révérence, bien que cela lui soit difficile car le rhum en grande quantité lui donnait une démarche malhabile.

            _Cher madame, je vous ramène votre mari… Toi, là bas ! Dit-il en désignant un garde. Amène moi le prisonnier !

L’homme s’exécuta sur le champ et me mari fut rendu a sa femme.

            _Que t’on t’ils fait ? Dit-elle en essuyant le sang sur son visage avec la manche mitée de sa robe. Le shérif prit la question pour lui et répondu plus vite et plus fort que le forgeron.

            _Rien de bien méchant ! Juste quelques coups de fouet de chaîne, et aussi de bâton… Il s’en remettra vite, ajouta-t-il en ricanant.

            _Vous êtes un monstre !

            _Moi ? Vous vous trompez sûrement de personne. C’est cet homme le brigand, moi je suis la bonté même, répondit-il en pointant son index sur la poitrine ensanglantée du forgeron. Vous méritez tous une bonne punition ! Le shérif ponctua ces quelque mots d’un rire interminable et reprit bruyamment sa respiration. Avec une haine indescriptible, il dit sans prendre la peine de détacher les syllabes : Laissez-moi réfléchir…

            _Ne croyez-vous pas que mon père ait été suffisamment puni comme cela ? N’est-il pas humilié, faible et complètement  sans défenses a présent ?

            _Cela ne me suffit pas ! Vous devez tous payer ! Il se frotta les mains d’un air malicieux et ponctua chacune de ses phrase avec des ricanements incessants.

            _Vous êtes complètement saoul ! Vous ne vous rendez même plus compte de ce que vous dites ! Réplique Adèle. Vous êtes imbibé d’alcool grossier personnage.

Dans sa tête le forgeron savait que cette façon de parler au shérif de ne leur apporterai que des ennuis mais la force ne lui vint pas pour conseiller a se femme de le laisser parler sans rien dire.

            _Rentrons, ajouta-elle a l’adresse d’Amine, qui soutenait son père.

Ecrit par Venaline, à 20:13 dans la rubrique "Actualités".
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Vendredi (01/09/06)
Histoire
--> partie 3

Sous les hurlements incessants du prisonnier, le garde hésita pus répondit :

            _A votre place, maître, (ce mot eu l’effet d’afficher un sourire supérieur sur le visage de l’autre) je l’emmènerais et je ne me donnerais même pas la peine de lui offrir le voyage du retour… Nous n’avons pas besoin d’encombrer nos cachots de choses inutiles et perverties

Le shérif éclata d’un rire gros et gras et assena au dos du pauvre garde de grandes claques retentissante tout en l’arrosant copieusement de postillons.

            _Tu as raison ! Nous allons lui donner l’occasion de les revoir une dernière fois… Tu t’occuperas de préparer les chevaux, nous partons ce soir !

Puis il s’approcha du garde et lui passa un bras autour des épaules, tandis que celui-ci retenait tant bien que mal sa respiration devant l’haleine pestilentielle de son seigneur. Sur le ton de la confidence, il ajouta :

            _Ma générosité me perdra.

Ensuite, il se retourna, débarrassant le pauvre homme de son fardeau et s’éloigna d’un pas mal assuré et joyeux.

 

Au même moment, dans la clairière, Amine scrutait pour la énième fois l’orée du bois à travers la vitre embuée, dans l’espoir de voir apparaître la maigre silhouette de son père. N’apercevant toujours rien, elle secoua la tête s’un air triste et laissa échapper une petite larme. D’un revers de manche elle cacha son chagrin et rejoignit sa mère effondrée sur une chaise dans la cuisine.

            _Toujours rien…

Amine s’assit sur une chaise bancale qui se trouvait en face de sa mère et la contempla en silence.

Son visage, creusé par des années de labeur et de famine, conservait toutefois quelques restes de l’éclatante beauté qu’elle arborait autrefois. Ses vêtements rapiécés et troués juraient affreusement avec sa longue chevelure brune parsemée de gris. La flamme d’une bougie reflétait ses joues humides de larmes et elle tordait et retordait ses doigts noueux en gémissant faiblement.

Amine elle, avait les formes et les traits d’une jeune fille qui approche des dix huit ans. En faite elle ne savait pas exactement quel age elle avait. La famine ne l’avait pas affectée, et les multiples entraînements au maniement de l’épée qu’elle faisait avec son père lui avait rendu un physique parfais. Ses vêtements étaient tout aussi troués que ceux de sa mère en raison de ses sorties nocturnes en forêt. Elle avait héritée de sa chevelure brune et des yeux noirs de son père.

Toutes deux désespéraient à présent de voir revenir le forgeron, car jamais il ne les avait habitué a rentrer aussi tard. Il faisait nuit a présent, et le lourd silence qui s’était installé depuis plusieurs minutes fut percé par les sabots d’une bonne dizaine de chevaux. Elles se précipitèrent vers la porte et sortirent en trombe sur le palier. En apercevant le shérif, la mère d’Amine lui chuchota quelque chose à l’oreille : 

            _Ho non, pas cet immonde porc, sa venue n’annonce rien de bon.

Ecrit par Venaline, à 21:30 dans la rubrique "Actualités".
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Samedi (29/07/06)
Histoire
--> partie 2

_Tiens !!!Une nouvelle venu, dit –il. On m’a informé de vos intentions d’hier soir. Vous vous apprêtiez à voler une de mes poules ?

            _Une de vos poules ? Vous vous moquer de moi ? N’est ce pas vous qui prenez toutes celle de vos villageois ? Je me suis aperçut il y a quelques jours de la disparition de la totalité des miennes. N’avez-vous pas fait une petite escapade au-delà de vos mûrs ? En plus d’essayer de nourrir ma pauvre famille je ne faisais que reprendre ce qui m’appartient ! Ne vous rendez vous pas compte ? Vous affamez les habitants de cette ville !

            _Subtile, très subtil… et surtout très sournois, vous êtes en train de vous enfoncer dans votre propre galère mon cher ami… Comment oser vous me répondre comme cela et ho !... Comment osez-vous même m’adresser la parole ?

            _Vous m’avez tout simplement posé une question je n’ai fais que y répondre.

            _Seriez-vous en train de me défier ? Répliqua le shérif sur un ton de défi. Il reprit ensuite le plus aimablement possible en ayant prit soin de laisser quelques secondes de réflexion au pauvre homme.

            _Vous m’avez parlé tout a l’heure de votre famille… Parlez-moi donc d’eux !

            _Que voulez-vous faire ?

            _Moi ? Rien du tout ! J’aime beaucoup connaître la vie de mes prisonniers… J’espère que vos chaînes sont suffisamment serrées !

            _Je ne vous dirais rien du tout, vous êtes minable !

            _Votre silence ne vous mènera nulle part… Je sais très exactement que vous habitez la seule et unique maison de la clairière du Touquet. Il ne me sera donc pas très difficile de retrouver votre précieuse famille…

            _Qu’allez-vous donc faire ?

            _Moi ? Rien personnellement, je vais tout simplement ordonner a mes hommes de leurs rendre une petite visite de courtoisie, et leur préciser gentiment que leur misérable sort sera entièrement de votre faute… Hé oui, c’est ça qui arrive lorsqu’on se moque suffisamment longtemps de ma noble personne… la mort !

            _La mort ? Vous n’avez pas le droit ! Misérable !

            _Sachez mon cher ami que j’ai tous les droits, au cas où vous l’auriez oublié, je suis sans aucun doute le shérif de cette ville, elle m’appartient, il se trouve donc que j’ai tous les droits !

            _NON ? NON ! Arrêtez, je ferais tout ce que vous voudrez, je vous en supplie arrêtez !

Le forgeron hurlait a présent, et des grosses larmes chaudes glissaient le long des joues rougir par le chagrin.

            _Faites-vous donc la différence entre une poule et deux vies humaines ? Reprit-il en voyant le shérif quitter le cachot en essayant vainement d’emprunter les escaliers de pierres d’une façon correcte, car le fait qu’il est abusé de sa fiole d’alcool avant de venir l’avait rendu complètement sous. Le forgeron avait beau l’insulter, hurler, se débattre et pleurer, l’infâme ne se retourna pas. Il riait en essayant de couvrir les hurlements de l’homme. Lorsqu’il eu atteint le sommet des marches, il questionna un de ses hommes de main qui se trouvait a proximité de lui et lui demanda lequel de ses châtiments seraient le plus cruel :

            _Dit moi mon jeune ami… D’après vous… Faut-il le laisser là, ignorer le sort de sa stupide famille, ou alors l’emmener avec nous admirer le prix de ses fautes ? Vas-tu te taire ? Dit-il subitement au forgeron en se retournant d’un coup sec en vacillent quelque peu sur ses jambe imbibées d’alcool. Alors ? Reprit-il. Ses chers  joyaux étendus de tout leur long et égorgé en plein milieu de leur verte prairie ?

Ecrit par Venaline, à 18:33 dans la rubrique "Actualités".
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Jeudi (27/07/06)
HIstoire
--> partie 1

Il y a un certain nombre d’années, dans le nord de l’ancienne France, une ville du nom de Middelburg entra dans la période sombre de son existence en héritant d’un shérif incompétent à la tête de son pouvoir. Le fourbe avait délibérément pris la place du Roi, décédés quelques temps auparavant dans une bataille. Et sans même prendre connaissance du choix des compatriotes de sa ville il s’installa sur le trône. En vérité, après une défaite cuisante, le Roi était mort de la main même du shérif dont l’amour propre refusait de perdre, et l’immonde personnage en avait profité pour s’emparer du pouvoir. Le shérif changea complètement le mode de vie de Middelburg, et en quelque mois seulement, tous les habitants furent pris d’une peur incessante vis-à-vis de lui et de ses hommes. Le shérif étant terriblement avare, avait par des pratiques grotesques et sans pitié rendue tous les habitant de sa ville malades et miséreux. Il était grand et mince, et avec ses cheveux et ses yeux noirs, il avait un air sombre dont il ne se séparait jamais et dont il se servait pour faire pression sur ses prisonniers et sur tous les innocents sur lesquels il déversait chaque jour sa rage en raison disait-il d’un manque de divertissement. Le shérif avait également un terrible penchant pour l’alcool.

Sa terre était vaste. Elle était constituée essentiellement d’un bourg, d’où s’élevait son château, et d’une multitude de champs et de clairières, disséminées tout autour, ces mêmes clairières où il passait la plus grande partie de ses nuits afin de s’attaquer de nouvelles fois à des pauvres paysans innocents.

Ce soir là, c’est la petite famille de la clairière du Touquet qui fut le centre de la fureur du shérif. En effet, un forgeron de Middelburg et sa famille vivaient dans la seule et unique maison de cette clairière. Voyant que lui et sa famille étaient de plus en plus victime de la famine au fils des jours, il sortait les nuits afin de tenter de voler quelques poules au bourg. Ceci était l’unique moyen qu’il avait d’éviter de s’affaiblir et de tomber dans une mort longue et douloureuse. Il était vieux et vivait avec sa femme et son unique fille, Amine. Jusque là, jamais le forgeron n’avait eu a faire à un quelconque problème. Mais une nuit de pleine lune, alors qu’il s’apprêtait à s’emparer d’une volaille, il fût assommé et se réveilla que quelque temps plus tard dans un cachot froid et humide.

Le lendemain, on prévint le shérif de Middelburg qui vint sans attendre lui rendre une visite de bienvenue…

 

(voila c'est le tout debut aussi de la fameuse histoire dont je vous ai parlé dans l'article précédant)

Ecrit par Venaline, à 21:28 dans la rubrique "Actualités".
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Lundi (24/07/06)
Le Commencement...

     Alors voila c'est le tout début de ce nouveau joueb, fait avec beaucoup d'aide d'ailleur... J'en profite pour remercier Songe, trop gentil de m'avoir tant aidé... d 'ailleur ce site est aussi en partie a lui...Il peut venir quand il veut et poster aussi quand il veut (je parle a la troisième personne mais en faite je m'adresse directement a toi). Mon ancien site ayant apparament été supprimer je recommence a zero sur les conseils de Songe encore une fois...

     Alors ici paraîtrons beaucoup d'articles sur les elfes et aussi une histoire que j'ecris avec une autres personne de joueb : Lisèen (qui se reconnaîtra bien qu'elle est décider de ne plus trop venir écrire sur joueb)

     Voila le tout premier article de mon tout nouveau joueb, je suis trop contente, merci encore...

Venaline

Ecrit par Venaline, à 11:51 dans la rubrique "Actualités".
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